C’est peu de constater que les vacances se terminent. Implorerait-on, après tant d’autres, le temps de sorte qu’il suspende son vol, rien n’y fait : nous voilà rattrapés par la rentrée politique. « Journées d’été », « universités, campus d’été », se succèdent et sont abondamment commentés. Au point de tourner à la « politique spectacle », irritante pour beaucoup.
Ce serait dommage pourtant de s’y arrêter. Derrière les fanfaronnades, les envolées (de boutique…), les effets de manches ou d’annonce, se tiennent des débats, se dessinent des stratégies qui n’ont rien de secondaire. Je pense par exemple à la réforme des retraites, à la prochaine loi de finances, à la question européenne…
Comme dit le proverbe : l’école de la vie n’a point de vacances. Il y a beaucoup à retenir des difficultés de la vie quotidienne de nos concitoyens. Joindre les deux bouts, se loger décemment, espérer, nourrir la confiance en l’avenir pour ses proches, pour ses enfants…
Il est encore temps de faire en sorte que le bateau de l’efficacité économique et de la justice sociale ne reste pas à quai…
C’est peu de constater que les vacances se terminent. Implorerait-on, après tant d’autres, le temps de sorte qu’il suspende son vol, rien n’y fait : nous voilà rattrapés par la rentrée politique. « Journées d’été », « universités, campus d’été », se succèdent et sont abondamment commentés. Au point de tourner à la « politique spectacle », irritante pour beaucoup.
Ce serait dommage pourtant de s’y arrêter. Derrière les fanfaronnades, les envolées (de boutique…), les effets de manches ou d’annonce, se tiennent des débats, se dessinent des stratégies qui n’ont rien de secondaire. Je pense par exemple à la réforme des retraites, à la prochain loi de finances, à la question européenne…
Comme dit le proverbe : l’école de la vie n’a point de vacances. Il y a beaucoup à retenir des difficultés de la vie quotidienne de nos concitoyens. Joindre les deux bouts, se loger décemment, espérer, nourrir la confiance en l’avenir pour ses proches, pour ses enfants…
Il est encore temps de faire en sorte que le bateau de l’efficacité économique et de la justice sociale ne reste pas à quai…